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LA MER EST LA!
23/07/2006 17:13
Les galets sont durs sous mes pieds nus
Mais qu'importe
La liberté est à ma porte.
J'entends le ressac qui claque aux rochers
Et moi je suis là, couchée.
Le vent caresse mon corps
Lave les couleurs grises et sales
Les scories de Lorraine sont oubliées
Loin révolues dans le passé.
Les gouttes d'eau salées
Lovent ma bouche de baisers
Doux et amer comme de la lave
Et gardent vie à ma liberté.
CB
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J'ETAIS FEUILLE
19/07/2006 23:28
PARFOIS ON DOUTE! VOILA CE QUE CE DOUTE M'A AMENE A PENSER
J'étais feuille
Bondissante et joyeuse
J'étais feuille
Valsant et rieuse
Je fus bousculée vivement en passant
Bing bang boum, je tombais lourdemant.
Petite feuille, allons bouge, sourie moi!
Qui me parlait si gentiment?
Petite feuille me vois-tu? je suis là
Je levais les yeux prudemment
Pas un muscle ni une ride ne bougeaient
Seules mes oreilles entendaient
Mon coeur et mon âme tremblaient
La voix de nouveau chantait.
Essaie de bouger de valser ou de chanter!
Je sursautais violemment, chanter, danser?
Qui es-tu? dans cette maison on ne chante pas
Le sais-tu? dans cette maison c'est la mort au pas.
Alors, pourquoi restes-tu là?
Cette interrogation me troubla
Je me bougeais un peu de côté
Un murmure sorti alors de mes lévres
Je l'aimais, je l'aime!
BC
Depuis trois ans j'ai le bonheur et je ne me pose plus de questions ON S'AIME!
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A TOI L'AIME
13/07/2006 18:12
Dans l'immensité de ton regard
Qui me berce, me calme, me chavire
Dans tes yeux si doux
Qui lavent tout le poids du joug
Dans la mer mouvante de tes yeux
Qui me clame les instants bienheureux.
Dans l'ardeur de leurs ombres
Qui me sortent de ma pénombre
Dans ces instants silencieux
Si lourds de merveilleux
Dans tous ces souvenirs
Où je pleure de sourires.
Dans cela et pour cela
Je dis merci à ta chaleur
Je vais me fondre dans ta douceur
Et mettre à tes pieds mon bonheur.
fin
CB
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LE PAPILLON
08/07/2006 14:27
Oh! bien sur tu ne pouvais pas savoir
Que mon coeur avait deux ailes
Deux ailes fines et douces.
Oh! bien sur tu ne pouvais pas savoir,
L'une protégeait ta vie
L'autre protégeait leurs espoirs.
Oh! bien sur tu ne pouvais pas savoir.
Que caressée était toujours vivant!
Que délaissée était desespérance.
Les nuits sont longues, mes ailes se brisent!
Le duvet qui les recouvre
Se déchire et tombe en flânant.
Oh! bien sur tu ne peux savoir!
Tu es homme et je suis femme.
CB
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L'ECUREUIL
06/07/2006 16:00
Il avait le regard doux et triste
D'enfant malheureux!
Il avait aussi la tignasse rousse
D'indiscipliné cheveux.
Il était petit et grand à la fois.
Il suivait au hasard de ses pattes
Le chemin par lui choisit.
Il montait bravement,
Puis sautait de branches en branches
La queue relevée en panache.
Chaque jour il passait, et repassait
Devant mes fenêtres
C'était une lettre d'amour peut-être!
Puis l'hiver est venu
Et l'écureuil a disparu.
BC
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