En 1990 seule et triste j'avais écrit cette poésie, depuis j'ai trouvé l'amour et la tendresse.
LA DAME.
Comme cette mer enchantée
Qui me berce et me câline
Comme un lien invisible!
Comme la corde du pendu,
Comme ces impertinences,
Dites sous silence
Comme cet impalpable,
Qui reste et qui déraille.
Comme ces routes sans surprises
Comme ces tristesses sans chagrin,
Comme ces chagrins sans douleurs,
Comme cette dame sans àme!
Vous êtes , solitude ,la grande
La puissante l'impalpabe,
Et l'implaquable DAME.
FIN
BAILLY CHRISTIANE07/07/1990/ saint-brevin