PAGES.
Les pages admettent les choses simples et faciles.
Compliquées tracées de mains malhabiles
Elles recueillent toujours nos sentiments,
Ne se substituent jamais à nos tourments.
Elles reçoivent nos poésies, nos ardeurs,
Elles perçoivent aussi nos détresses.
Mais nos cœurs dans ces pages posés
Redisent notre connaissance de leurs richesses.
Pages blanches de la vie sans détours
Elles nous montrent nos faiblesses !
Remplies ! Nous découvrons nos contours.
Bercées par le crayon, elles acceptent
Toutes nos idées, nos cris, nos plaintes.
On peut tout écrire sur ces pages blanches,
Rien elles ne refusent, ni ne réfutent.
Compagnes de tourments ou de gaieté,
Elles sont pures de tous sentiments
Qui a inventé cette belle chose ?
Du pouvoir écrire et parler sur le papier ?
Des tréfonds de mes mémoires,
Je vous dis merci vous, ces pages
De pouvoir mettre à nu mon courage.
FIN.
H.H.H.H.BAILLY.C.ST/BREVIN/1988.
wil j'ai mis en pratique ce dont on a parlé ce matin , un copier coller avec de l'aide ! merci bisous Christ
Perdue
Dans la lumière du jour et dans la clarté
J e ne trouvais plus ma route
Sur les chemins du jour
La nuit était dans ma rue
Je ne distinguais que le noir
Puis hier au soir une lueur
L’espoir était venu me voir
Un rayon brillait dans le soir
Ce jour ce n’est guère mieux
Mais le bonheur brille mes yeux
Car l’obscurité a disparue
Et je peux naviguer un peu.
FIN
BAILLY/CHRISTIANE/AOUT 2006/